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Le scandale de l’industrie de la fourrure

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Avant que Bunny ne passe à l'action

Interpellez LVMH

LVMH, complice de la souffrance animale

7 millions d’animaux détenus dans des conditions atroces sont tués chaque année en Europe pour leur fourrure.

LVMH, le groupe de luxe français qui détient notamment Louis Vuitton, Dior, Givenchy ou encore Sephora, ne se limite pas à commercialiser de la fourrure, il finance également cette industrie. Une industrie pourtant en déclin et rejetée massivement par l’opinion publique.

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Logos des marques de LVMH

Les images terribles de l’industrie de la fourrure

Notre première vidéo dévoilait des images exclusives d’une enquête de terrain menée en janvier dernier et exposait la cruauté des fermes à fourrure en Europe. À travers cette seconde vidéo, nous vous dévoilons le rôle de LVMH dans ce scandale.

Voir la première vidéo

LVMH finance le lobby de la fourrure

GAIA détient des documents révélant que LVMH a prévu un financement de 300 000 euros en 2024 pour l’IFF - la Fédération Internationale de la Fourrure - une puissante fédération et lobby de la fourrure. En plus d’en vendre, à travers des marques comme Louis Vuitton, le groupe soutient financièrement cette industrie cruelle.

Qu’est-ce que la fédération internationale de la fourrure ?

Le lobby de l’industrie de la fourrure

Créée en 1949, l’IFF se présente comme un garant du bien-être animal et de l’environnement grâce à ses programmes de certification et de traçabilité. Mais la réalité est tout autre : elle cherche surtout à ralentir le déclin de l’industrie de la fourrure, en usant de lobbying, de pressions et de stratégies de désinformation.

Image showing the quote 'The federation promotes business of fur, establishing certification and traceability programmes on welfare and the environment.'. Source : wearefur.com.
« En finançant le lobby de la fourrure, LVMH entretient une industrie de la honte. Il est temps qu’ils cessent cette barbarie et écoutent l’appel des citoyens pour une mode sans cruauté ! » Michel Vandenbosch, Président de GAIA.

Un stratège qui orchestre la survie de l’industrie de la fourrure

Sur son site, l’IFF prétend informer ses membres sur les avancées scientifiques, politiques et en matière de bien-être animal. Mais dans les documents que GAIA a en sa possession, on découvre que ces « ressources » sont en fait des outils de lobbying et de communication pour ralentir l’effondrement du secteur. L’IFF cible les décideurs politiques en Europe, en Amérique et en Asie pour les influencer et prolonger la survie d’une industrie en déclin, tout en masquant sa cruauté sous un vernis écologique.

« L’éthique » selon LVMH : un leurre face à la souffrance animale

LVMH continue de promouvoir la fourrure animale, prétendant offrir des produits « éthiques et responsables » à ses clients, alors qu’ils sont conçus au prix d’une cruauté sans nom infligée à des millions d’animaux ?

Charte et label : une illusion d’éthique

LVMH soutient le label Furmark, développé par l’IFF, et a publié en 2019 sa propre charte d’approvisionnement animal, promettant des pratiques plus responsables. Mais ces démarches ne font qu’offrir une illusion d’éthique, et détournent l’attention des consommateurs de la cruauté inhérente à la production de fourrure.

LVMH, l’un des derniers du luxe à utiliser encore de la fourrure

En 2025, LVMH fait figure d’exception parmi les grandes maisons de luxe en continuant à utiliser de la fourrure animale et à financer son lobby. Pourtant, la pression s’intensifie. Sous l’impulsion de GAIA et plus de 50 organisations, Max Mara a récemment renoncé à la fourrure, rejoignant des marques comme Dolce & Gabbana, Saint Laurent, Valentino, Prada, Gucci, Versace, Balenciaga et Armani.

STOP à la Fourrure

Agissons ensemble pour mettre fin à l’un des pires scandales de l’industrie de la mode.

Envoyez un message clair à LVMH : STOP à la fourrure, maintenant.

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